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Enfin …

… elles sont arrivées : les 9 nouvelles teintes Farrow and Ball sont disponibles depuis quelques jours.

De nombreuses nouveautés pour une rentrée douce et joyeuse. Et des peintures toujours 100% à base d’eau.

Découvrez-les, accompagnées de quelques idées d’inspiration.

 

School House White (n° 291) . 

Un blanc cassé, mais en douceur

Directement inspiré des murs des anciennes écoles anglaises (d’où son nom), ce blanc se balance sur un fil : pas vraiment blanc pur, mais qui peut le laisser croire lorsqu’il est associé à une couleur sombre, il fait le lien avec les autres « neutres » de la marque, tout en étant plus discret.

Il est intemporel, doux, et légèrement chaud. Même s’il peut convenir aux intérieurs contemporains, on l’imagine tout autant dans un univers plus suranné.

Farrow and Ball

Mister Finch par Anthropologie

Lacanche

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Treron (n° 292) .                          

Vert de gris

C’est une variante plus forte de la couleur « Pigeon ». Elle s’adapte parfaitement aux univers contemporains où s’épanouissent les matériaux naturels. Le bois, la pierre la réchaufferont.
Mais elle trouvera également sa place dans les intérieurs d’inspiration nordique, associée aux beiges, blancs, gris bleutés.

Farrow and Ball

Isabelle Chapuis - Duy Anh Nhan Duc

Isabelle Chapuis-Duy Ahn Nhan Duc

Bensimon Home

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Jitney (n° 293) .                         

Un brun neutre apaisant

Nuance argileuse, qui rappelle le sable des Hamptons, là où se rendaient les new-yorkais impatients de fuir l’air suffocant de la ville. Cette nuance porte d’ailleurs le nom du bus qui menait justement aux Hamptons.
Un peu moins traditionnel que le « Oxford Stone », il insuffle un vent nouveau sur la gamme.

Farrow and Ball

Les Raffineurs

Caracal

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Paean Black (n° 294) . 

Un noir hypnotique

Voilà un vrai noir magnifique. Réalisé à base de rouge, il complète la série des noirs inimitables de la marque. D’une élégance folle, d’inspiration georgienne, il renvoie à la couleur des vieux missels anglo-saxons.
A imaginer sans crainte chez soi, pourquoi pas jusque sur le mobilier.

Farrow and Ball

Bloomingville

Julien Colombier

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sulking Room Pink (n°295) .

Un rose poudré très romantique

Comme elle n’est pas « rose franc », cette teinte est particulièrement facile à coordonner. Délicate, tendre, enveloppante, elle évoque la couleur des boudoirs, dont elle reprend le nom (« bouder » en anglais).

Dé-saturée et poudrée, elle sera magnifique en mat.

Farrow and Ball

Hanna Werling

Vaulot et Dyèvre

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Rangwali (n° 296) .       

Une couleur-phare

La voici, la plus audacieuse de ces nouveautés : Rangwali, qui puise son nom dans les racines de la fête du printemps en Inde et dans ses poudres pigmentées et éclatantes.

Joyeuse, vivante autant que vibrante, elle apportera énergie et exotisme dans tous les styles d’intérieurs, en total-look autant qu’en touches discrètes.

Farrow and Ball

Diptyque

Hermes

 

 

 

 

 

 

Preference Red (n° 297) .        

Rouge riche

Un rouge totalement baroque, profond et riche. Classique, il rend hommage au nom commercial d’origine de la marque,« Preference Paints ».

Farrow and Ball

source Archzine

Inès de la Fressange

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bancha (n°298) .  

Le vert olive années 50

Malgré sa force, ce vert est apaisant et diffus. Son nom vient d’une variété de feuilles de thé japonais. L’atmosphère est calme, rassurante, enveloppante. On pense bien évidemment à sa complémentaire violette pour l’accompagner. Mais il fonctionne également tellement bien associé aux bleus éteints ou aux jaunes bouton d’or qu’il est compliqué de trancher …

Farrow and Ball

Ralph Lauren Home

Le Creuset

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

De Nîmes (n° 299) .  

Denim

Un bleu terrien et authentique, qui rappelle la période Régence. Intemporel et polyvalent, les associations peuvent donc être multiples et particulièrement élégantes.

Farrow and Ball

Robert Gervais Studio

Bensimon

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Conclusion : cela valait vraiment la peine d’attendre 3 ans !

 

OCTOBRE 2018

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